Ce film, réalisé par Georges Bournonville, membre du Caméra Club de Revin (Ardennes), documente un voyage en Bretagne en 1954, à travers plusieurs localités du Finistère.

Le voyage commence à Concarneau, où la caméra saisit les promeneurs déambulant paisiblement le long des quais animés du port.

La famille poursuit sa route vers la Pointe du Raz, spectaculaire cap rocheux battu par les vents. Le cinéaste y filme les falaises abruptes et les sentiers escarpés.

On découvre ensuite une plage, puis un port où les pêcheurs déchargent leur prise du jour.

À Lesconil, la famille se promène sur les rochers en bord de mer avant d’observer l’activité portuaire : des filets de pêche sont étendus directement sur les bateaux, séchant au soleil. Une sortie en mer est également filmée, suivie d’une séquence consacrée aux loisirs : les enfants s’amusent sur des balançoires, la famille profite de pédalos et d’une barque, puis partage des instants de baignade à la plage, où les plus jeunes jouent avec une bouée.

À Bénodet, la famille embarque pour une promenade fluviale sur l’Odet. Depuis le bateau, le cinéaste filme les autres navires croisés et les demeures bordant les rives.

Le périple se poursuit à Brest, où le film offre une vue sur le château et le port.

À Douarnenez, la caméra accompagne une nouvelle flânerie le long des quais.

Enfin, le film s’achève sur les images du pardon de Notre-Dame-de-la-Joie, à Penmarc’h. Devant la chapelle, des femmes et des hommes en costumes traditionnels bigoudens, participent à la cérémonie religieuse. La caméra enregistre la procession, la bénédiction de la mer et la messe, qui ont lieu chaque année le 15 août, jour de l’Assomption.