Saint-Mihiel (Meuse)
- Année
- 1902 environ
- Lieu(x)
- Saint-Mihiel (55)
- Auteur
- ANONYME
- Déposant
- Denis RAVAUX
- N° de photo
- FI-0889-0421
- Coloration
- Noir & Blanc
- Support original
- Impression Photomécanique
La Table du Diable et les casernes d'infanterie de Saint-Mihiel (Meuse). À l'arrière-plan, les casernes de Chauvoncourt (Casernes Canrobert), bombardées en 1914 lors de l’offensive allemande ; puis ensuite par l’artillerie française ; Chauvoncourt ayant constitué la seule tête de pont de l’armée allemande sur la rive gauche de la Meuse dans ce secteur, jusqu’à l’offensive américaine de 1918. La « Table du Diable » que l'on voit au premier plan à gauche, constituait une curiosité géologique très rare, phénomène naturel d’érosion par le vent, lui conférant la forme d’un champignon de pierre d’environ 1,80 m de hauteur, sur un pied étroit qui a fini par céder au XXe siècle. Elle était située au sommet d’une des sept roches surnommées " Les Dames de Meuse ", qui ont valu à Saint-Mihiel d’être débaptisée en « Roches sur Meuse » pendant la Révolution, tandis que le blason communal consiste en trois roches d’argent sur un fond d’azur.
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