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Patrimoine
Fiche documentaire

Fiche documentaire

Publié le 04 juin 2400

Ladakh (Inde)

    • Genre
    • Familial
    • Ayant(s) droit
    • Daniel SCHMITT
    • Durée
    • 00:35:14
    • Coloration
    • Couleur
    • Support original
    • Film super 8
    • Son
    • Sonore
    • Fonds
    • Bernard SCHMITT

La région du Ladakh, au nord-est de l’Inde, est appelée le petit Tibet. Elle est constitué par la plaine du Haut Indus et elle occupe les gorges les plus étroites, les montagnes les plus élevées Karakoram pré-Himalaya.

La région est annexée au Cachemire en 1937 et fait parti de l’Inde. Après le passage de Mao et le rasage du Potassa, il devient le dernier bastion du bouddhisme tantrique et des lamaseries secrètes.

Le paysage du Ladakh a un côté lunaire, la végétation exubérante peut être remplacée par un immense désert de pierres.

L'entrée de la partie bouddhique du Ladakh où l'on rencontre sur les routes d’étape des musulmans, des fileurs ou tisseurs. Les voitures particulières sont rares dans les montagnes de sable, de grès.

La Maitreya de Mulbrek est un petit ensemble constitué par une lamaserie et un temple ouvert au public. Il comprend un gigantesque Bouddha de pierre, haut de près de 14 mètres (Tchamba statue), et à ses pieds se trouve un temple dans lequel on retrouve, en peinture polychrome, des effets de bouddhisme tantrique. Effets que l'on retrouve dans la coiffure bouddhique d'une femme avec des incrustation de chrysocolle, lapis lazuli, turquoise.

Des monuments aux morts que l'on nomme Stupa, contiennent des reliques. Dans le village, une jeune fille porte un énorme tambour de temple sur son épaule.

La montagne désertique de Namikala, à plus de 4000 mètres d'altitude. Sur la route, un convoit des troupes indiennes montent vers la frontière. En bas de la vallée, des petits villages dominés par une Maitreya, des Stupa ou un monastère.

Un mur de prière avec des inscriptions tibétaines sur des pierres apportées par des pèlerins, nombre de ces pierres ont des centaines d’années. Le plus haut point se nomme Srinagar Leh, une route pierreuse et peu praticable culmine à presque 5000 mètres d'altitude.

Lamayuru Gumpa est un monastère dont l'architecture est typiquement tibétaine, fait en hauteur, qui s'incruste dans le paysage de colonnes de basalte. Les villageois et les lamas portent le drapeau mongole, des colliers, des moulins de prière. Les peintures tantriques dans les cours des monastères représentent le stade suprême et en dessous, les six autres stades pour devenir Maitreya, les démons du bien et du mal se mêlent.

Pour protéger les toits des maisons, des brindilles de pin attachées en fagot sont insérées dans le crépis. Le soleil relève la polychromie des peintures du village. A quelques kilomètres, le Paradise land, est constitué par des flute de découpe dans le calcaire qui domine la gorge de l'Indus.

Les yacks bi-colores, blanc et noir, broutent l'herbe rare sur la route de Leh, la capitale. Elle comprend 6500 habitants. Les femmes portent le classique gibus, chapeau haute-forme. La ville est dominée par un château fort, autrefois habité par la reine.

C'est la deuxième moisson avant d'entrer dans l'hiver, tout est encore en fleurs. Le Gumpa de Leh, en dessous du château. L'école de Leh où les élèves se dirigent et apprennent le tissage. Les moissonneurs chantent en récoltant le blé. Dans le village, la grande rue est occupée par des marchands, des maraichers, des vendeurs de souvenirs. Les dévotions se font au grand jour.

Un petit temple, près de l'unique mosquée de Leh, contient des reliques et des peintures. Dans la vieille ville, des auberges et des hôtels sont au milieu des marchands et des mendiants, des barbiers de rue.

En montant les rues pentues de la ville, des hommes dépècent des animaux, un lama procède à ses ablutions, les enfants se présentent devant la caméra.

Un lotus en or sur la façade d'un monastère et un jardin fleuri. A l'intérieur, des peintures tantriques et une bibliothèque, les commandements du lama. Accueil par une jeune femme en tenue traditionnelle.

Danses présentées par des jeunes femmes porteuses de bijoux, d'étoffes, des broderies, de turquoise bruts. Les danses sont très lentes, accompagnées par des rythmes au tambour.

Spituk Gumpa, à six kilomètres de l'entrée de Leh, est un des plus vieux monastères bouddhiques et fortifiés. Au dessus des murailles, une vue panoramique grandiose sur la ville, la vallée de l'Indus et l'aérodrome.

Shay Gumpa possède des inscriptions murales polychrome, escarpée aride avec des moulins à prière gigantesques. Les lamas jouent de l'Alphorn (Corne des Alpes) pour appeler les démons et entrer en communion avec eux.

Thiksay Gumpa, le plus grand monastère du Ladakh qui contient le plus de moines et l'école de lama la plus réputée. A nouveau, les murs sont couverts de peintures tantriques.

Hemis Gympa, lieu où se réunissent chaque année près de 3000 lamas pour danser pendant une semaine. Thiksay et Hemis font partie des monastères appelés Bonnet jaune, c'est-à-dire les lamas orthodoxe. L'Indus, large et majestueux, des Stupa, des pics neigeux, des agriculteurs d'orge et de millet.

Alchi Gumpa, le plus vieux monastère du bouddhisme tantrique du Ladakh. Il est couvert de sculptures taillées dans le cèdre centenaire. Derrière les murs et les moulins de prières, des maitrayas délirantes dans leurs couleurs et leurs formes.

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