Enquête du Musée de la Vie wallonne consacrée à la technique de l'écorçage des chênes, à La Roche-en-Ardenne (Belgique) en juin 1942. L'industrie de la tannerie employait à l'époque dans ses fosses l'écorce de chêne moulue, le tan, remplacée depuis par des produits chimiques.

INTERTITRES: "L’exploitation à flanc de coteau. Le travail est exécuté à l’aide d’une serpe et d’un écorçoir (pèleû). Ici les arbres ont une vingtaine d'années. Quand le bas de l'arbre est écorcé, il est scié et ébranché, en vue de continuer l'écorçage du tronc. Pour détacher l’écorce des petites branches, on les martèle sur une pierre à l'aide d'un maillet (one mayote). Les bois sont liés en fagots et les écorces en bottes à l'aide de harts de coudrier (noisetier). Les outils".

Ce film, fruit d'un travail de collecte de mémoire remarquable, est issu des riches fonds du Musée de la Vie wallonne à Liège (Belgique). Sa diffusion sur notre site s'inscrit dans le cadre du projet Interreg Pierres Numériques.

Numéro d'inventaire du Musée: 8000090