L'équipe exploitant le crassier de l'usine sidérurgique de la Providence à Réhon (Meurthe-et-Moselle) en 1920. Pour le personnel d'exploitation du crassier, le travail est identique à celui d'une carrière : extraire au pic les blocs de crasse, charger les wagonnets à la pelle, les conduire au concasseur. En se refroidissant, les différentes couches de laitier liquide ont formé des couches de crasse indépendantes, assez facilement exploitables, sans machine puissante. Le risque d'écroulement du talus est présent, la crasse s'étant craquelée en se solidifiant. Il est fréquent que les ouvriers travaillent du haut en bas de la pente pour ne pas laisser de crasse en surplomb.